Communiqué de presse – 16/10/2019
De Marie DOSÉ
SuiteCabinet d’avocats Marie Dosé – Barreau de Paris
5 rue de Provence – 75009 Paris – Tél.: (33) 1 42 61 15 05 – Fax : (33) 1 42 61 16 05 – Mél : avocats@cabinetdose.frÉtiquette : Détenue dans un camp kurde en Syrie
Quelle justice pour les djihadistes français – LCI – 24/01/2018
Politiquement show Présenté par Arlette Chabot – Diffusé sur LCI le 24 janvier 2018
SuiteCommuniqué de presse – concernant les familles de djihadistes français détenue au Kurdistan syrien. Plainte contre l’Etat français – 18/01/2018
De William BOURDON, Marie DOSÉ, Marc BAILLY, Martin PRADEL Avocats à la Cour
SuiteFrançais arrêtés en Syrie : l’exercice d’équilibrisme de Paris – Le Monde – 05/01/2018
Les Françaises arrêtées par les Kurdes de Syrie pourraient être « jugées là-bas », selon le porte-parole du gouvernement, et ce alors que le Kurdistan syrien n’est pas un État. par Soren Seelow, Marc Semo et Allan Kaval (Erbil, correspondance) – Publié dans Le Monde le 5 janvier 2018
SuiteRetour de djihadistes : la délicate politique du « cas par cas » de Macron – L’Express – 04/01/2018
Le rapatriement « au cas par cas » des djihadistes français capturés en Syrie et en Irak est mise à l’épreuve par des demandes de retour. Un sujet politiquement sensible. Par Anna Benjamin – Publié dans L’Express du 4 janvier 2018
SuiteLa délicate situation des femmes djihadistes faites prisonnières au Kurdistan syrien – LeFigaro.fr – 04/01/2018
Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a estimé jeudi qu’elles seraient jugées au Kurdistan « si les droits de la défense » étaient respectés lors d’un « procès équitable ». Les avocats des intéressées réclament au contraire qu’elles soient rapatriées en France pour faire face à la justice. Par Julien Licourt – Publié dans Le Figaro.fr du […]
SuiteParis confronté aux demandes de retour de djihadistes arrêtées en Syrie – Le Monde – 03/01/2018
Une dizaine de françaises, dont une pionnière du djihad, Émilie König, sont détenues par les forces kurdes. Deux d’entre elles demandent à être « rapatriées ». Publié dans Le Monde le 3 janvier 2018
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